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Nous partîmes 500...

Dernière mise à jour : 25 juil. 2018


Invitation gratuite aux Portes Ouvertes du Management de Transition d’Objectif CASH


« Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort, Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port, Tant, à nous voir marcher avec un tel visage, Les plus épouvantés reprenaient de courage ! »


Don Rodrigue, le CID de Pierre Corneille


Dans le management de transition c’est un peu comme dans le Cid …Les Maures en moins (*) …

Au départ, nous sommes 500 … à un moment nous nous rêvons 3 000, nous nous exaltons, un peu … beaucoup … et puis …

Patatras ! La réalité du terrain … Nous ne sommes plus qu’une poignée d’hommes et de femmes (Mesdames vous êtes les bienvenues !).

Une poignée certes mais déterminés !


Quand nous faisons la somme des contraintes de nos clients / des missions qu’ils nous confient :

- Equipes des clients démotivées et à rebooster => Qui peuvent au départ, par cruauté ou par lassitude légitime d’avoir déjà vu passer avant nous trois cabinets de consultants du type « YAKAFAUKON », essayer de nous induire en erreur juste pour nous faire échouer

- Eloignement des missions => Fini l’abonnement au Gymnase Club ou à l’Opéra !

- Nous devons faire beaucoup de choses par nous-mêmes …souvent des tâches « basiques de chez basique » et pas très ragoûtantes => Nous devons aimer nous retrousser les manches => Consultants et DAF de salons s’abstenir !

- Il nous arrive fréquemment de devoir gérer des conflits (entre services ou à l’intérieur du service / projet dont nous avons à assumer la charge et la responsabilité)

- Nous ne brillons jamais => La lumière, les félicitations du jury, les boules à facettes c’est pour le client / les équipes du client => Pas pour nous les managers de tradition => Jamais ! => Nous devons apprendre à vivre avec une forme d’ascèse sur ce plan là

- Nous savons quand la mission commence mais nous ne savons jamais vraiment quand elle va finir => Il y a toujours plein de rebondissements

- Le management du client ne nous dit pas tout. Il peut avoir des agendas cachés… => D’ailleurs pourquoi nous dirait-il tout ? A quel titre ? Le management du client est chez lui. Pas nous.

- Une chose est sûre toutefois : La mission va s’arrêter un jour ! => Mais c’est le client qui décide => Pas nous les managers de transition …


Enfin et nous avons conscience que cela peut en choquer certains. Nous respectons nos clients et nous leur reconnaissons certains droits :

- Nos clients ont le droit de ne pas tout savoir

- Nos clients ont le droit d’hésiter à prendre certaines décisions

- Nos clients ont le droit de temporiser ou d’accélérer à leur gré

- Nos clients ont aussi le droit de changer d’avis

Et à chaque fois c’est à nous de nous ajuster…


Quand nous faisons la somme des contraintes de nos clients / des missions qu’ils nous confient, que nous nous rendons compte que nous n’occupons aucune case dans l’organigramme (**) chez nos clients (nous sommes justes là pour aider l’interne à franchir un cap) beaucoup se disent « Finalement, à quoi bon ? ».


Et pourtant chaque année depuis 14 ans, Objectif CASH organise plusieurs sessions de ses « Portes Ouvertes du Management de Transition ». Chaque année, c’est plein. Plusieurs milliers de managers expérimentés ont participé à ce jour.


Et pourtant chaque année depuis 14 ans, Objectif CASH intègre des nouveaux managers de transition à ses équipes.

David BRAULT

Directeur Associé

Objectif CASH


(*) Nous ne nous en prenons ni aux Maures (qui ne nous ont rien fait) ni à personne d’ailleurs => Nous travaillons toujours avec les équipes du client => jamais contre.

(**) Le droit à occuper une case dans un organigramme est-il reconnu par la déclaration universelle des droits de l'homme ?

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